LES VOYAGES DU "M.A.C."
Pour ceux qui seraient arrivés sur ce Blog par hasard et
voudraient en savoir plus sur ce « Manteau d’Arlequin » qui nous promet de nous
emmener en Amérique Latine en juillet prochain, et pour tous ceux qui
souhaiteraient que leur mémoire soit rafraîchie, quelques informations pour les uns et
souvenirs pour les autres.
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Le Manteau d’Arlequin de Cluis, le « M.A.C.», est
une association dont le but officiel est
" de
promouvoir la culture théâtrale en milieu rural " mais dont la fonction effective est d’entraîner,
un été sur deux, acteurs et spectateurs en voyage dans l’espace et le temps
sans jamais quitter l'enclos de la forteresse de Cluis-Dessous.
Quelques exemples de voyages.
- La Russie, la neige, une forteresse assiégée par tous les peuples de l'Asie centrale, la steppe et les chevauchées des cosaques...
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- Venise au temps de sa splendeur marchande, la ville du
commerce triomphant, de l’argent qui navigue, la ville où l’on peut
tout acheter, les choses, les plaisirs et les gens…
- L'Angleterre victorienne et les sombres Carpates, où rôde la folie, où la mort est aussi
trouble que l’amour ...
- La forêt de Sherwood qui, sur l’explicite affiche d’Emilie
Sauzet semble n’être éclairée que sous et
par la capuche de Robin Hood …
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- Paris du XIXème siècle ses bas fonds et sa haute société …
- Paris, à nouveau Paris, mais avec détour par le bagne de Toulon et
Boulogne sur Mer, et surtout des allers retours
entre le temps de Victor Hugo et celui des comédiens de Cluis montant
leur premier spectacle en 1962…
Dans tous ses voyages le « M.A.C. » n’avait pas
encore quitté la vieille Europe, ce sera chose faite cet été 2016 car
maintenant c’est certain il va nous entraîner en Amérique du sud ou centrale,
mais en tout cas Latines.
J -71
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Avant de les replanter pensez bien sûr à mettre dans leur trou un morceau de peau de banane (pour le potassium) et quelques feuilles d'ortie ( pour je ne sais plus quoi...). Mais surtout pensez à ce méditerranéen appelé Christophe Colomb qui n'hésita pas à aller solliciter tous les dirigeants de l'Europe de XVème pour traverser l'océan pas encore Atlantique, rapporter ce précieux fruit et le rendre indispensable à la cuisine du sud de notre vieux continent.
En hommage, je viens de replanter moi-même des plants de "Cornes des Andes" dont je ne manquerai pas de vous donner des nouvelles de temps en temps dans ce Blog.
Salut cher Francis Paul-Charles,
RépondreSupprimerLe jet de tomates sur les cabotins est devenu rare de nos jours, il n'est donc pas masochiste de conseiller la culture d'icelles, dont la variété des espèces est extraordinaire( sur la photo, il me semble même avoir reconnu ces singulières tomates qu'on nomme poivrons et piments).
Georges Perec avait en son temps écrit « D’une expérience sur les effets du jet de tomates sur les cantatrices » et cela me donne soudain envie d'adapter la chose pour une prochaine et hypothétique itinérance théâtrale en pays charentais ou du moins outre-indrien.On donnerait des tomates aux spectateurs, ou on leur en lancerait, il faut voir. Ils font ça en Espagne (120 tonnes y sont passées). C'est la tomatina. On s'amuse comme on peut.
http://blog.francetvinfo.fr/dans-vos-tetes/files/2013/02/Cantatrix-sopranica-L.jpg
Poivrons, tomates comme déjà écrit, cadeaux de l'Amérique Latine.
SupprimerMais il en est un autre et d'importance, LA PATATE qui je crois fut l'objet d'une tournée triomphale d'un certain "Festival" auquel tu n'étais pas étranger...quand nous en reparles-tu ?