dimanche 26 juin 2016

PIQUE NIQUE - PREMIER RENDEZ-VOUS


Dimanche 26 juin, il n'est pas encore midi, Cluis - Dessous est encore bien calme. Il ne reste que les restes calcinés non pas de Palomita après le passage des guérilléros mais du feu de saint Jean fêté hier soir.

Midi c'est l'heure du Punch parfaitement dosé par Florence et ils sont tous là pour partager ce qui sort des paniers.












La joie des retrouvailles est très visible sur le visage de la Présidente Magali.
La publicité pour un fameux équipementier
est-elle une initiative personnelle ? Ou l'arrivée d'un nouveau sponsor ?









 
Les Secrétaires Généraux Associés étaient aussi à l'heure du Punch...
 
Mais nous n'étions pas venus que pour ça et les choses sérieuses commencèrent avec l'arrivée des gens sérieux et d'importance.
 
AU GENERIQUE.
 
 
Béatrice BARNES
Texte, Conception, Mise en scène

 
 
Assistée de Pauline BLERON
 
 
avec Christophe YVERNAULT aux lumières 




Musique : Séverin Valière
Chant : Sophie Mercier




Et toute la troupe !

Toute la troupe, toute la troupe...ce serait trop beau. Il manque encore quelques participants, retenus sans doute par d'autres occupations, une fête familiale ou locale, les vêpres, ou un match de foot franco-suisse ?
 
Mais je crois pouvoir affirmer que cela n'a pas empêché Béatrice de ressentir une fois installée sur l'herbe de l'aire de jeu de Cluis toutes les forces telluriques qui montent en ce lieu, les mêmes qui jaillirent comme je l'ai déjà dit un jour du sol grec: Cluis c'est la Gaule, donc c'est la Grèce...
Je m'emporte, je m'emporte mais maintenant que je vais avoir presque tous les soirs matière à délirer sur ce blog, il va falloir que vous vous y fassiez. 



 
 La tension de la création ou l'invocation des forces du sol cluisien .
 
 
 
 
 
MALUS:
 
 
Ce dimanche 26 juin un rallye de voitures plus ou moins anciennes était de passage dans la forteresse de Cluis-Dessous. Un des joyeux rallymen en profita pour soulager sa vessie qu'il vidangea tranquillement sous nos yeux et sur notre maison du Seigneur dans un temps suffisamment long, imposé sans doute par sa prostate, pour que nous puissions admirer l'effort un bon moment.
Comme me disait ma concierge "La prostate c'est un truc qui nous pend au nez à tous", ses notions d'anatomie n'étaient pas des plus sérieuses...  
 
 

 

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