Celles qui seront les AMAZONES

Ne pouvant toujours pas parler des Amazones pour laisser aux spectateurs la primeur de l’histoire, je vais vous présenter celles qui vont les incarner et leur rappeler si elles l’ont oublié, si elles se sont oubliées elles-mêmes, quelques exemples des beaux rôles qu’elles ont tenus avec talent à Cluis.

Avec par ordre du hasard :

Magali Blanchet : Même si les spectateurs distraits n’ont retenu de « Martin Guerre » que l’attelage de bœufs et les pantalonnades du curé, les vrais amateurs de théâtre n’ont pas oublié la prestation de Magali qui a su affirmer sa place de femme dans le monde d’hommes de la campagne XVIème siècle.

Aurore Ségura-Pennot : Elle fut l’admirable prieure du « Dialogue des Carmélites » le spectacle le plus exigeant de Cluis et certainement l’un des plus beaux. Mais elle fut aussi l’instit’ revêche, à la culture courte, tout son contraire, donc magnifique composition dans « Les Misérables 62. »

Jackie Momot : Dans ce même spectacle, « Les Misérables 62 », elle incarna la metteuse en scène et mit en « chair et en voix » l’idée originale de Patrick Bléron et devint ainsi l’animatrice de tout le spectacle.

Pauline Bléron : Passa allégrement et avec talent de la diaphane et languissante jeune anglaise victorienne victime de « Dracula » à la tonique et acidulée jeune femme des sixteens des « Misérables 62 ».

Dominique Dusserre : Sut tout aussi bien incarner  la courtisane vénitienne de « Volpone » et la mère Thénardier des « Misérables 62 ». Aucun rapport entre les deux personnages mais la même justesse dans l’interprétation.

Stéphanie Douard : Elle fut Macha, l’amour perdu dans la steppe de « La fille du Capitaine » mais peut être surtout la fille révoltée et féministe (déjà) de John Rockfeller dans « Du vent dans les branches de sassafras »

Josiane Gillet : Remarquée dans toutes ses interprétations à Cluis mais aussi dans d’autres compagnies théâtrales de la région, dont une fameuse belle-mère dans « Le fabliau du Cuvier ».

Beaucoup de beaux rôles féminins qui font mentir ceux (celles) qui affirment qu’il n’y a pas de  rôle pour les comédiennes.

L’importance d’un rôle ne tient pas au personnage, encore moins à la longueur de texte.                         

Du « Cid » de Jean-Louis Barrault au Rond-Point, je me souviens autant de Jean Marais que de Francis Huster, autant de Don Diegue que du Cid lui-même.

Beaucoup d’actrices cluisiennes ayant déjà comme back grounds des rôles féminins importants, ayant déjà incarné des femmes qui tiennent leur place,  pourront  donc assumer de jouer avec justesse les AMAZONES DE PALOMITA.

Voici pour les Amazones qui ont déjà une longue carrière à Cluis et il ya aura en plus  celles que nous allons découvrir et dont nous reparlerons.

 

AMAZONES de la Pub sur un bus de Mexico                    F.D.

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Mercredi 20 juillet
 
39.5° au thermomètre, la fatigue s'accumule, les soirs de répétitions, les journées de montage: La tension est palpable sur le plateau et encore plus en coulisses. 
Les esprits et les corps sont fatigués.
J -2! Et il y a l'inquiétude que ne peut même pas apaiser un dernier filage plein de promesses.
Il ne reste pas grand chose pour que tout le monde y soit mais ça ne rassure pas quand on est fatigués.
Il est temps d'utiliser cette inquiétude pour y trouver la force d'aller jusqu'à la réussite.
Encore la Couturière et la Générale pour se rassurer définitivement, mais attention pas trop, car ensuite ce sera la Première et un peu de tension ce n'est pas forcément inutile... 



BONUS:

En fait une information capitale pour ceux qui suivent ce blog...
Pensez à réserver pour le spectacle et l'auberge au 02 54 31 23 00.